Versions en italien napolitain

  1. Epistola ad priorissam de caritate (« Épitre sur la charité à une prieure », entre l’été 1305 et l’année 1308). L’original catalan de cette œuvre n’a pas été conservé. Il s’agit d’un commentaire exégétique de 1 Co XIII,4-7, adressé à une religieuse. Cette courte œuvre vise à définir la charité chrétienne, par rapport à l’amour fraternel. Les signes de la charité permettent d’identifier les vrais chrétiens, ainsi qu’à l’inverse les faux disciples de la doctrine de Jésus Christ.
  2. De helemosina et sacrificio (« Sur l’aumône et le sacrifice », entre 1309 et 1310). Courte œuvre consacrée essentiellement à deux thèmes : la supériorité de l’état de virginité sur celui du mariage et celle de l’aumône sur l’établissement d’aumôneries. La troisième partie répond à certaines des objections qui pourrait être soulevées concernant la deuxième partie. Quatre fragments en catalan de cette œuvre ont également été conservés.
  3. Alia informatio beguinorum. Cf. núm. 46.
  4. Per ciò che molti (après le De helemosina…). Résumé de tout ce que Arnau dénonce, car beaucoup souhaitent le savoir. Celui qui cherche la gloire du ciel doit vivre dans la charité, adapter toute sa vie à la manière d’agir du Christ et rendre sa croix présente. Les quatre bras de la croix représentent les vertus suivantes : l’humilité, la justice, la patience et la charité.

Versions en italien toscan

  1. Epistola ad priorissam de caritate. Cf. núm. 49
  2. Lliçó de Narbona. Cf. núm. 43.
  3. Per ciò che molti. Cf. num. 52.

Versions en grec

  1. Allocutio super significatione nominis tetragrammaton. Cf. núm 2.
  2. Alphabetum catholicorum sive de elementis catholicae fidei i Antilogíai katà tôn eireménon (darrera part de l’Alphabetum catholicorum). Cf. núm. 3.
  3. Philosophia catholica et divina. Cf. núm 10.
  4. Eulogium de notitia verorum et pseudoapostolorum. Cf. núm. 15.
  5. De humilitate et patientia Iesu Christi (« De l’humilité et de la patience de Jésus Christ », des dernières années de vie d’Arnau de Vilanova). Cette œuvre fut écrite en catalan, mais elle n’a été conservée que dans sa version grecque. Elle est destinée à une religieuse et explique une vision qu’eût une autre religieuse.
  6. Lliçó de Narbona. Cf. núm. 43.
  7. Ad priorissam, de caritate. Cf. núm. 49.
  8. Per ciò che molti. Cf. núm. 52.

Versions en espagnol

  1. Alphabetum catholicorum sive de elementis catholicae fidei. Cf. núm. 3.
  2. De helemosina et sacrificio. Cf. núm. 50.
Athos
Illustration : Un des nombreux monastères du mont Athos, en Grèce: la demande faite par des moines d’Athos par l’intermédiaire d’Arnau à Jacques II pour protéger leurs monastères des Almogavres pourrait expliquer l’origine des traductions grecques de certaines de ses œuvres spirituelles (Origine: Wikimedia).